La douceur de l’intime, la mélancolie de la vie et la résilience à toute épreuve. Que c’était beau de découvrir Maureen Wingrove, plus connue sous son nom d’illustratrice Diglee.
La plume m’a fait parfois penser à du Annie Ernaux, que j’aime plus que tout.
Une lecture qui m’a habité, un livre que je n’ai pas pu poser malgré son invitation à prendre des pauses et au silence. Beaucoup de questions m’habitent à la fin de ce texte, une folle envie de partir moi aussi quelques temps pour me retrouver (et lire, écrire, dessiner).